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Juan Manuel Fangio Grand Prix de Monaco 1952
Tout ce qui fait un Grand Prix de Monaco a été présenté en 1957. Quatre Maserati contre quatre Ferrari - le tout entre de bonnes mains. Juan Manuel Fangio – au sommet de son art et déjà double champion du monde, au volant de la 250F, aux côtés de ses coéquipiers Masten Gregory, Giorgio Scarlatti, Carlos Mendeteguy, Harry Schell et Horace Gould. Les autres légendes siègent dans la Ferrari 801 : Maurice Trintignant, Wolfgang von Trips, Peter Collins et dans la Ferrari-Lancia D 50 Mike Hawthorn. De plus, un Cooper Climax moderne avec un moteur arrière et Jack Brabham au volant, ainsi qu'un Vanwall de forme traditionnelle avec Stirling Moss et Tony Brooks au volant. Moss dépasse Fangio après le départ. Collins attrape le champion du monde peu de temps après. Mais Moss se surestime, provoque un accident de masse majeur auquel seul Fangio échappe, miraculeusement magistralement et aussi comme par magie, il se glisse à travers les démarreurs rapides en collision - seulement pour contrôler la course pendant les 95 tours restants comme un champion du monde - même si vers la fin, le deuxième rapport est "manquant". "Pour arriver premier, il faut d'abord arriver".
